Attraction mortelle, de Lucy Christopher

388 pages

Éditeur : Gallimard Jeunesse

Date de parution : le 6 novembre 2014

Prix : 17€90

Quatrième de couverture

« Le père d’Emily est accusé d’avoir tué une jeune fille dans les bois de Darkwood, juste derrière leur maison. Convaincue de son innocence, Emily est déterminée à découvrir ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là. Damon en sait lus qu’il ne le dit sur les derniers moments d’Ashlee, sa petite amie, la victime. Emily et Damon peuvent-ils s’aider pour traquer la vérité ? »

Mon avis

Le père d’Emily est un ancien soldat traumatisé par ce qu’il a vécu. Il se réfugie souvent dans les bois de Darkwood. Elors qu’il rentre en pleine nuit avec le corps d’Ashlee dans les bras, le coupable est tout désigné. Surtout qu’il ne se souvient pas de ce qu’il s’est passé. Tout le monde le croit coupable, sauf sa fille Emily, qui fera tout pour découvrir la vérité.

Damon, le petit copain d’Ashlee, était avec elle lors de cette fameuse nuit. Ils jouaient au « Jeu » avec leurs amis. Mais il se réveillera, le lendemain matin, en n’ayant aucun souvenir de ce qu’il s’est passé lors de cette soirée.

Qui a tué Ashlee ? Est-ce le père d’Emily ? Pourquoi Damon ne se souvient-il pas de cette soirée ? Quels sont les règles et enjeux du « Jeu » ?

Je pensais passer un super moment de lecture avec ce thriller pour adolescents mais je ressors déçue de ma lecture. Je trouve qu’il ne se passe pas grand chose dans ce roman, il manque d’action et de rythme, malgré l’alternance de narrateurs.

Alors que Damon est persuadé que le père d’Emily est coupable et en veut à Emily pour ça, Emily pense que Damon pourrait être le coupable. Ils vont finir par se rapprocher et par mener l’enquête jusqu’à découvrir la vérité…

Pour conclure, j’attendais plus de ce roman. Oui, il se laisse lire, mais je trouve que l’action n’est pas assez présente et l’ennui pointe de temps en temps le bout de son nez. Un livre qui, malheureusement, ne me restera pas longtemps en mémoire.

 J’ai chroniqué ce livre pour les Chroniques de l’Imaginaire.

La note de Rex