Archives de Catégorie: Jeunesse

La planète des dormants, de Gaël Aymon

Éditeur : Nathan

Date de parution : le 14 juin 2018

Prix : 16€95

Quatrième de couverture

« Pour réparer leur vaisseau endommagé, des explorateurs spatiaux atterrissent en catastrophe sur une planète inconnue. la découverte de ruines d’une civilisation disparue ravive l’espoir de la capitaine : cette nouvelle planète pourrait-elle être habitable ? Mais une partie de l’équipage est prête à tout pour repartir au plus vite, malgré l’état du vaisseau…

La rencontre soudaine avec un peuple primitif qui les prend pour des dieux, les Sept Dormants, les place devant un choix crucial : jouer les usurpateurs ou détromper ceux qui les accueillent ? »

Mon avis express

Je remercie les éditions Nathan pour l’envoi surprise de ce livre. Malheureusement, je ressors déçue de ma lecture. Alors que la quatrième de couverture m’attirait un peu, je me suis ennuyée pendant ma lecture. Je trouve que l’histoire est lente et manque d’action. Je n’ai donc pas réussi à me plonger dans l’histoire et à l’apprécier. Du coup, je ne me suis pas attachée aux personnages… Aussi, il est difficile de bien les appréhender car ils sont nombreux dès le début, mais on fini par s’habituer à eux. De plus, il y a une liste des personnages au début du livre pour nous aider si besoin.

Un point positif tout de même pour la première de couverture que je trouve jolie 🙂

Je remercie Samia et les éditions Nathan pour cette découverte dans le cadre de notre partenariat.

Si c’est pour l’éternité, de Tommy Wallach

315 pages

Éditeur : Nathan

Date de parution : le 8 février 2018

Prix : 16€95

Quatrième de couverture

« Enchanté. Moi, c’est Parker. J’ai 17 ans, je suis moyennement mignon et j’aime sécher les cours pour traîner dans les halls des hôtels chics de San Francisco. J’en profite pour perfectionner mes techniques de pickpocket. Ah, et je n’ai pas prononcé un mot depuis la mort de mon père, il y a 5 ans. Voilà, vous savez (presque) tout.

Mais laissez-moi vous raconter l’événement le plus marquant de ma vie : ma rencontre avec Zelda Toth et ce jour où j’ai décidé de tout faire pour lui redonner le goût à la vie. »

Mon avis

Nous suivons Parker, un lycéen de dix-sept ans, qui est muet depuis la mort de son père. Il adore sécher les cours et traîner dans les halls des hôtels chics de San Franciso. C’est ici qu’il rencontrera Zelda, une jeune femme qui a décidé de se suicider. Ils font alors un deal et Parker fera tout ce qu’il peut pour l’empêcher de se suicider et lui redonner goût à la vie.

J’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman assez original. Je trouve la plume de Tommy Wallach fluide, très agréable et addictive. Ce roman est un peu trop axé jeune ado pour moi, mais j’avoue qu’il est surprenant !

Concernant Parker, c’est un jeune homme traumatisé à cause de la mort de son père. Il en a perdu la parole. Il est donc souvent seul et a peu d’amis car il ne s’intègre pas au lycée. C’est un jeune homme attachant. S’agissant de Zelda, elle passe un peu de temps avec Parker en attendant le fameux coup de fil, puis elle se suicidera. C’est assez glauque, mais Parker fera tout pour l’en empêcher en passant des moments avec elle. Elle lui avouera d’ailleurs qu’elle est immortelle et qu’elle en a marre de vivre. Vrai ou faux ? Je vous laisse le découvrir…

Pour conclure, j’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman. Il vise des lecteurs plus jeunes que moi, mais je l’ai trouvé original. A découvrir !

Je remercie Samia et les éditions Nathan pour cette découverte dans le cadre de notre partenariat.

La note de Rex

3 sur 5

Library Jumpers (tome 2 – La gardienne des mensonges), de Brenda Drake

474 pages

Éditeur : Lumen

Date de parution : le 26 janvier 2017

Prix : 15€

Quatrième de couverture (attention aux spoilers)

« Quand le Conseil des mages envoie Gia dans une petite ville du Connecticut, elle croit d’abord que vivre sous protection avec sa famille, ses amis – et, en bonis, Arik en personne – ne devrait pas s’avérer trop désagréable. mais le déception ne tarde pas : non seulement son meilleur ami, Nick, a du mal à contrôler de tout nouveaux pouvoirs plus qu’inquiétants mais, en plus, Gia est contrainte de vivre sous le même toit que Deidre, sa jumelle seulement en apparence, avec qui elle ne s’entend pas du tout… Sans compteur qu’Arik semble s’intéresser d’un peu trop près à l’une de leurs jeunes voisines !

Bien décidée à retrouver les Chiavi manquante – ces clés magiques qui sont leur seul espoir – la jeune Sentinelle, accompagnée de Nick, visite en secret certaines des plus belles bibliothèques de la planète. Mais le sort s’acharne : elle déclenche au détour d’un couloir sombre un piège qui l’expédie vers une bien mystérieuse destination. Pour retrouver les siens et affronter Conemar, Gia va être contrainte de faire un sacrifice, un choix terrible qui lui coûtera un être cher. »

Mon avis (attention aux spoilers)

Dans le premier tome de cette saga, Gia a découvert un nouveau monde mêlant sorcellerie et danger. Elle ne le savait pas, mais elle est en fait une Sentinelle, comme sa mère l’était. Elle est donc chargée de protéger les Humains des Chimères. Selon la prophétie, Gia serait également l’enfant de l’Apocalypse.

Dans ce deuxième tome, nous retrouvons Gia en sécurité dans le Connecticut. Elle est accompagnée de Nick, Pop, Deidre, Arik… Mais sa nouvelle vie ne sera pas de tout repos : Nick, son meilleur ami, a du mal à contrôler ses nouveaux pouvoirs ; Arik se rapproche bien trop d’une voisine ; son père est proche de Deidre, sa jumelle… Mais Gia n’oublie pas qu’elle et Nick ont pour mission de rassembler les Chiavi manquantes. Pour cela, elle visitera de belles bibliothèques mais devra surmonter quelques difficultés.

Je n’avais pas trop accroché au premier tome de cette saga, mais j’avais quand même envie de lire la suite. Comme pour le premier tome, je n’ai pas trop accroché à l’univers ni aux personnages. Le livre est divisé en deux parties. La première partie est axée sur l’histoire et quelques rappels des événements du premier tome. Cette première partie est relativement calme. Dans la deuxième partie, l’action apparaît enfin.

Concernant les personnages, ils sont nombreux. Nous retrouvons Gia qui est plus mature que dans le premier tome. Ici, la pauvre devra faire face à de nombreuses difficultés. Côté cœur, un triangle amoureux est omniprésent tout au long de la lecture entre Gia, Arik et Bastien. Arik est assez étrange dans cet opus, mais je vous laisse découvrir pourquoi. Enfin, dans le premier tome l’auteure ne parle pas beaucoup de Bastien, mais dans ce deuxième tome on apprend à le connaître et il m’a plu.

Pour conclure, j’ai passé un bon moment de lecture avec cet opus, mais je n’arrive pas à accrocher à l’histoire ni aux personnages. Cependant, cette saga étant appréciée par de nombreux lecteurs, je vous conseille de vous faire votre propre avis.

J’ai chroniqué ce livre pour les Chroniques de l’Imaginaire.

King’s Games Apocalypse, de Nobuaki Kanazawa

413 pages

Éditeur : Lumen

Date de parution : le 6 octobre 2016

Prix : 15€

Quatrième de couverture

« La fin du King’s Game approche ! Cette fois, le défi diabolique lancé tous les soirs à minuit n’est plus seulement réservé à une poignée de malheureux, mais s’adresse aux lycéens du pays tout entier… Le reste de la nation suit les événements à la télévision, où défilent les messages abjects du roi.

Lorsque le premier ordre tombe – tous les lycéens de la préfecture de Hiroshima sont sommés sous peine de mort de rejoindre en moins de 24 heures la région voisine d’Okayama –, trois amis décident de s’y plier. Mais pour Tomohisa, Shûichi et Yuka, qui croient à une simple plaisanterie, c’est surtout l’occasion de sécher les cours. Jusqu’à ce que la terrible sanction s’abatte sur les réfractaires…

La menace est claire : des dizaines de milliers d’adolescents sont bel et bien en danger de mort ! Nos jeunes héros sauront-ils résoudre l’énigme du jeu du roi afin de parvenir à survivre et à empêcher les massacres ? Dans ce nouvel opus de King’s Game, l’enjeu monte encore d’un cran. Cette fois, c’est une véritable apocalypse qui s’annonce !« 

Mon avis

Dans cet opus, le Roi ne s’en prend plus uniquement à quelques lycéens, mais à tous les lycéens du Japon. Alors qu’il dicte ses ordres, tout le pays suit ses messages à la télévision. Le premier ordre est donné à tous les lycéens de la préfecture de Hiroshima de rejoindre la région voisine d’Okayama sous 24 heures, sous peine de mort. Tomohisa, Shûichi et Yuka, qui croient à une simple plaisanterie, vont obéir à l’ordre afin de sécher les cours. Ils vont vite arrêter de croire à une plaisanterie lorsque les sanctions vont s’abattre sur les lycéens qui n’ont pas joué le jeu.

Je trouve cette saga assez répétitive, j’étais donc curieuse de voir si cet opus allait l’être autant en sachant que tous les lycéens du Japon sont concernés par le jeu du Roi. L’histoire est en effet moins répétitive puisque le Roi dicte juste trois ordres. Les journées sont donc plus longues que dans les précédents tomes et quelques longueurs se font ressentir. Néanmoins, la narration est rythmée et les pages se tournent vite. Pour le plus grand plaisir des âmes sensibles, les missions sont moins gores et sanglantes que dans les précédents tomes. Contrairement aux précédents tomes, les trois personnages principaux que nous suivons sont solidaires entre eux.

Pour conclure, rien d’original dans cet opus par rapport aux précédents tomes. Malheureusement, il reste encore trop de questions restées sans réponses.

J’ai chroniqué ce roman pour Les Chroniques de l’Imaginaire.

Seuls (tome 1 – La disparition), de Kidi Bebey, Fabien Vehlmann et Bruno Gazzotti

267 pages

Éditeur : Pocket Jeunesse

Date de parution : le 19 janvier 2017

Prix : 9€90

Quatrième de couverture

« Ils sont cinq. lls sont seuls. Plus d’école. Plus de règles. Plus de parents. Plus d’adultes. Ils ne peuvent compter sur personne d’autre qu’eux-mêmes. Seuls dans un monde hostile. Dodji et ses amis vont devoir s’unir pour survivre.« 

Mon avis

Dans ce roman, nous suivons cinq enfants : Yvan, Leïla, Camille, Terry et Dodji. Lorsqu’ils se réveillent, ils s’aperçoivent que tout le monde a disparu. Il n’y a personne dans les rues, on pourrait croire que la fin du monde est arrivée. Ces cinq enfants ne comprennent pas ce qu’il s’est passé. Un événement étrange et inexplicable s’est produit dans la petite ville de Fortville et ils semblent en être les uniques survivants. Que s’est-il passé ? Que sont devenus les parents ?

Ce roman illustré est une adaptation de la bande dessinée éponyme. Il se lit très vite, mais j’ai malheureusement trouvé qu’il n’était pas assez développé. On n’a d’ailleurs aucune réponse aux questions que l’on se pose. C’est dommage, car l’intrigue m’a vraiment donné envie de découvrir ce roman. Néanmoins, je pense que les prochains tomes seront plus développés et apporteront quelques réponses.

Yvan, Leïla, Camille, Terry et Dodji ont entre cinq et quatorze ans. Ils vont apprendre à se connaître et à former un groupe soudé. Vous vous doutez bien que pour ces enfants, cette situation est très difficile à vivre psychologiquement. Comment vont-ils survivre ? Comment vont-ils se nourrir ?

Un roman jeunesse dont l’intrigue évolue trop lentement, mais qui plaira certainement aux jeunes lecteurs.

J’ai chroniqué ce livre pour les Chroniques de l’Imaginaire.

Cette obscure clarté, de Estelle Laure

312 pages

Éditeur : Hachette

Date de parution : le 14 septembre 2016

Prix : 17€

Quatrième de couverture

« Mon père est à l’asile. Ma mère a pris des vacances à durée indéterminée. Si on apprend qu’elle nous a laissées seules, Wren et moi, on va nous séparer.

Après le lycée il reste le frigo à remplir, les factures à payer, la maison qui tombe en ruines, nos voisins à gérer…Heureusement, deux personnes connaissent notre secret: ma meilleure amie Eden et Digby son frère jumeau merveilleusement parfait – et parfaitement casé.

Certains jours, j’ai l’impression que je ne vais pas y arriver. Alors quand, en rentrant du boulot, je trouve le frigo qui déborde ou des muffins encore fumants au pied de l’escalier, je ne peux m’empêcher de me demander: Est-ce qu’on cherche à nous empoisonner ? Ou bien est-ce que, même au cœur des ténèbres, l’espoir pourrait briller ?« 

Mon avis

Le père de Lucille et Wrenny est à l’asile. Leur mère est partie quelques jours en vacances, mais elle n’est pas rentrée. Pour ne pas être séparée de sa sœur, Lucille fera comme si sa mère était bien rentrée de vacances. Mais ça deviendra de plus en plus difficile de cacher la vérité, surtout lorsqu’il faudra de l’argent pour se nourrir et payer les factures. Vont-elles s’en sortir ? Leur mère reviendra-t-elle ? Leur secret sera-t-il découvert ?

J’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman. Le sujet est difficile et je n’arrive pas à me dire que cela doit réellement exister, une mère qui abandonne ses enfants. C’est tellement inconcevable pour moi qu’une mère puisse faire ça. Le sujet de l’abandon est donc difficile, mais Lucille et Wrenny vont également devoir survivre seules. Lucille fera tout pour ne pas être séparée de sa petite sœur. En plus des cours, elle travaillera pour gagner des sous et essayer de survivre.

Heureusement, elles peuvent compter sur deux amis, Eden et Digby, qui les aideront à garder leur secret. Elles peuvent également compter sur un mystérieux inconnu car leur frigo se remplit tout seul pendant leurs absences. Lucille devra également faire face pour la première fois à ses sentiments pour un garçon, elle devra apprendre à gérer ses émotions en sa présence. Je trouve néanmoins que cette romance est de trop dans ce roman. Des flash-back vont permettre au lecteur de découvrir le passé de Lucille et Wrenny. Pourquoi leur père est à l’asile ? Pourquoi leur mère avait besoin de vacances ?

Pour conclure, j’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman. Le sujet de base est bien traité, sans que cela invite le lecteur à sortir ses mouchoirs. Au contraire, le sujet est traité de manière positive tout au long du roman.

J’ai chroniqué ce roman pour les Chroniques de l’Imaginaire.

King’s Game Apocalypse, de Nobuaki Kanazawa

413 pages

Éditeur : Lumen

Date de parution : le 6 octobre 2016

Prix : 15€

Quatrième de couverture

« La fin du King’s Game approche ! Cette fois, le défi diabolique lancé tous les soirs à minuit n’est plus seulement réservé à une poignée de malheureux, mais s’adresse aux lycéens du pays tout entier… Le reste de la nation suit les événements à la télévision, où défilent les messages abjects du roi.

Lorsque le premier ordre tombe – tous les lycéens de la préfecture de Hiroshima sont sommés sous peine de mort de rejoindre en moins de 24 heures la région voisine d’Okayama –, trois amis décident de s’y plier. Mais pour Tomohisa, Shûichi et Yuka, qui croient à une simple plaisanterie, c’est surtout l’occasion de sécher les cours. Jusqu’à ce que la terrible sanction s’abatte sur les réfractaires…

La menace est claire : des dizaines de milliers d’adolescents sont bel et bien en danger de mort ! Nos jeunes héros sauront-ils résoudre l’énigme du jeu du roi afin de parvenir à survivre et à empêcher les massacres ? Dans ce nouvel opus de King’s Game, l’enjeu monte encore d’un cran. Cette fois, c’est une véritable apocalypse qui s’annonce !« 

Mon avis

Dans cet opus, le Roi ne s’en prend plus uniquement à quelques lycéens, mais à tous les lycéens du Japon. Alors qu’il dicte ses ordres, tout le pays suit ses messages à la télévision. Le premier ordre est donné à tous les lycéens de la préfecture de Hiroshima de rejoindre la région voisine d’Okayama sous 24 heures, sous peine de mort. Tomohisa, Shûichi et Yuka, qui croient à une simple plaisanterie, vont obéir à l’ordre afin de sécher les cours. Ils vont vite arrêter de croire à une plaisanterie lorsque les sanctions vont s’abattre sur les lycéens qui n’ont pas joué le jeu.

Je trouve cette saga assez répétitive, j’étais donc curieuse de voir si cet opus allait l’être autant en sachant que tous les lycéens du Japon sont concernés par le jeu du Roi. L’histoire est en effet moins répétitive puisque le Roi dicte juste trois ordres. Les journées sont donc plus longues que dans les précédents tomes et quelques longueurs se font ressentir. Néanmoins, la narration est rythmée et les pages se tournent vite. Pour le plus grand plaisir des âmes sensibles, les missions sont moins gores et sanglantes que dans les précédents tomes. Contrairement aux précédents tomes, les trois personnages principaux que nous suivons sont solidaires entre eux.

Pour conclure, rien d’original dans cet opus par rapport aux précédents tomes. Malheureusement, il reste encore trop de questions restées sans réponses.

J’ai chroniqué ce roman pour Les Chroniques de l’Imaginaire.

Le syndrome du papillon, de Maxence Fermine

253 pages

Éditeur : Michel Lafon

Date de parution : le 13 octobre 2016

Prix : 16€95

Quatrième de couverture

« Hugo Mars, 17 ans, n’est pas un garçon comme les autres. Atteint d’un mal étranger, le syndrome du papillon, il est interné en hôpital psychiatrique. Mais la vie est parfois surprenante. Car c’est là qu’il fait la plus belle rencontre de son existence. Celle de Morgane Saint-James, une jeune fille gothique et lunaire qui ne s’intéresse qu’aux génies.

Hugo tombe aussitôt sous son charme. Jusqu’à ce que la jeune fille disparaisse… »

Mon avis

Hugo vient d’être interné en hôpital psychiatrique après avoir tenté de sauter par la fenêtre de sa classe de cours, son professeur refusant de le laisser sortir de la classe. Il s’est révélé qu’Hugo souffre du syndrome du papillon, c’est-à-dire que cette maladie l’empêche de faire des choix. Alors qu’il se balade dans le parc de l’hôpital, il rencontre Morgane, une jolie jeune fille qui est atteinte de la maladie d’Asperger, une forme d’autisme.

Je ressors déçue de ma lecture. Je découvre cet auteur avec ce roman et je dois dire que j’ai beaucoup aimé sa plume poétique, mais je n’ai pas compris l’intérêt de cette histoire. Déjà, je ne comprends pas pourquoi Hugo a été interné en hôpital psychiatrique. Il a en effet voulu sauter de la fenêtre de sa classe, mais ce n’était pas pour se suicider, c’était surtout pour que le professeur accepte de le laisser enfin sortir de la salle de classe alors qu’il venait d’être viré de l’école.

Ensuite, la rencontre d’Hugo et Morgane est mignonne, leur histoire est mignonne, mais ne m’a pas du tout touchée. Hugo va très vite tomber sous le charme de Morgane, cette adolescente un peu spéciale mais belle et intéressante. Je dois dire que les personnages ne m’ont pas touchée. L’histoire et les personnages ne sont pas assez développés. Le départ de Morgane a été la goutte de trop… Je ne vois pas du tout l’intérêt de cette mise en scène, je ne vois pas ce que cela apporte de plus à ce roman. A partir de ce moment là, j’ai vraiment décroché de l’histoire.

Pour conclure, je ressors déçue de cette lecture. J’ai apprécié la plume de l’auteur, mais je n’ai pas du tout accroché à l’histoire ni aux personnages.

Je remercie Livraddict et les éditions Michel Lafon pour cette découverte dans le cadre d’un partenariat.

La note de Rex

2 sur 5

 

Au pays de l’ailleurs, de Tahereh Mafi

397 pages

Éditeur : Michel Lafon

Date de parution : le 13 octobre 2016

Prix : 16€95

Quatrième de couverture

« Il était une fois une petite fille délaissée…

Avec sa peau pâle et ses cheveux de neige, Alice détonne à Ferenwood, ce monde éclatant où les couleurs sont révélatrices d’un don magique. L’incolore jeune fille de douze ans n’a donc apparemment aucun intérêt, et les habitants de ce lieu en ont fait une paria. Aussi, lorsque Oliver lui propose de l’aider à chercher son père, la seule personne qui a toujours crue en elle, Alice accepte. Même si le garçon est son ancien ennemi de classe et que son talent conssite à tromper son monde. Même si, pour retrouver celui qui a disparu trois ans plus tôt, ils devront exploiter le dangereux pays de l’Ailleurs… Un endroit où rien n’est ce que l’on croit, et où les pièges pullulent. Un endroit où ils trouveront peut-être plus que ce qu’ils sont venus y chercher. »

Mon avis

Nous suivons les aventures d’Alice, une enfant de douze ans, qui vit à Ferenwood, un monde éclatant où les couleurs sont révélatrices d’un don magique. Mais la pauvre Alice est incolore et est donc rejetée par les habitants de Ferenwood. Même sa mère ne la traite pas très bien. Le seul qui l’aime est son père. Malheureusement, celui-ci a disparu il y a quelques années. Un jour, Alice a l’occasion de le retrouver. Pour cela, elle se rendra au pays de l’Ailleurs avec Oliver.

Connaissant déjà l’auteure grâce à sa saga Insaisissable que j’ai beaucoup aimée, j’avais très envie de découvrir son nouveau roman. De plus, il faut bien dire que la couverture est magnifique et qu’elle donne envie de se plonger dans ce livre. J’ai totalement adhéré à la plume de l’auteure et à ses « titres » de chapitres. Mais malheureusement, je ressors mitigée de ma lecture. J’ai bien aimé le début de l’histoire, jusqu’à l’arrivée d’Alice au pays de L’Ailleurs… Je n’ai pas accroché à cette deuxième partie qui ne m’a pas convaincue. J’ai trouvé le dénouement final bien trop rapide. Et pour finir, malgré ses 400 pages et ses jolies descriptions, j’ai trouvé l’histoire creuse, sans grand intérêt pour moi.

S’agissant des personnages, je ne me suis pas attachée à eux. Alice est une fillette de douze ans assez caractérielle et colérique. Quant à Oliver, il connait Alice depuis qu’elle est petite et il n’était pas très gentil avec elle. Ici, je n’ai pas réussi à lui faire confiance, je n’ai pas réussi à comprendre ce qu’il voulait au juste d’Alice. De plus, il nous donne quelques petites informations de temps à temps, ce qui ne m’a pas encouragée à l’apprécier et à lui faire confiance.

Pour conclure, malgré sa superbe couverture et une plume très agréable, je n’ai pas accroché à ce roman.

Je remercie Camille les éditions Michel Lafon pour leur confiance et pour cette découverte dans le cadre de notre partenariat.

La note de Rex

2 sur 5

Let the storm break, de Shannon Messenger

437 pages

Éditeur : Lumen

Date de parution : le 3 mars 2016

Prix : 15€

Chronique du 1er tome

Quatrième de couverture

« Vane Weston, le dernier sylphe de l’Ouest, a survécu à son premier affrontement avec l’ennemi. Il reste cependant une cible de choix, car lui seul détient le pouvoir des quatre vents… du moins c’est ce que tous s’imaginent. Car Audra, depuis qu’elle s’est unie à lui en se laissant voler un baiser – trahissant par là son serment de gardienne et tous les sylphes – maîtrise, elle aussi, la même force secrète.

Partie loin au nord pour fuir de terribles révélations sur son passé, la jeune fille se retrouve malgré elle attirée dans la Vallée de la Mort, repaire de Raiden et de ses guerriers. Et ce qu’elle y découvre la terrifie. Vane et Audra se trouvent face à un dilemme : révéler leur secret aux Veilleurs afin de leur permettre de combattre Raiden, et réduire ainsi à néant le sacrifice de tout un peuple, ou s’entêter à refuser au risque de perde la guerre ?

S’ils parviennent à survivre aux forces venues les détruire, leur restera-t-il quoi que ce soit après le passage de l’ouragan ? Dans Let The Storm Beak, la suite de Let The Sky Fall, Shannon Messenger mêle toujours avec autant de talent scènes d’action, créatures fantastiques et humour rafraîchissant. Laissez-vous entraîner par le souffle époque de sa nouvelle série ! »

Mon avis

A la fin du premier tome de cette saga, après leur combat contre les Foudroyeurs de Raiden, Audra avait besoin de temps pour réfléchir. Dans le deuxième tome de cette saga, nous retrouvons Vane et Audra quelques semaines après le départ d’Audra. Vane détenant le pouvoir des quatre vents, il doit s’entraîner pour pouvoir combattre Raiden et ses Foudroyeurs. Quant à Audra, en échangeant un baiser avec Vane, elle dispose également des mêmes pouvoirs que Vane, mais personne n’est au courant. En prenant de la distance pour réfléchir, elle se retrouve dans la vallée de la Mort, le repaire de Raiden. Ce qu’elle y découvre est terrifiant…

Le premier tome de cette saga m’avait plu, c’était surtout un tome permettant de poser les bases de l’histoire. Je dois donc dire que ce deuxième tome est bien meilleur. Il y a une alternance de narrateur entre Audra et Vane, chose que j’apprécie lors de mes lectures puisque ça donne encore plus de rythme à l’histoire. La plume de l’auteure est toujours aussi agréable et fluide. Je pense que le gros point positif de cet opus est que l’action est omniprésente.

Concernant les personnages principaux, nous suivons Audra et Vane. Audra avait besoin de temps pour fuir de terribles révélations sur son passé. Quant à Vane, il s’entraînera à combattre Raiden. Ces deux personnages vont mal vivre leur séparation et constater qu’ils s’aiment vraiment. S’agissant des personnages secondaires, nous croisons enfin Raiden qui est un être taré et puissant. Nous croisons également Raf, le gardien de Vane.

Pour conclure, je ressors ravie de ma lecture. Un deuxième tome meilleur que le premier où l’action est omniprésente !

J’ai chroniqué ce livre pour les Chroniques de l’Imaginaire.

La note de Rex

4 sur 5